Eglise St Nicolas Sébastien Bourdon (Montpellier 1616-71) : Ste Geneviève priant pour Paris - St Jean baptisant le Christ.
(département : Loire-Atlantique)
Deuxième visite le samedi 13 septembre 2003.
Très beau bâtiment, superbes collections.Nombreux envois du musée Napoléon en 1804 et 1809.
Achat de la prestigieuse collection Cacault en 1810 : 1 155 tableaux, 64 sculptures, 10 500 estampes. Durant son séjour en Italie, François Cacault achète plus d'un millier de peintures et plus de cinq mille estampes, représentatives de l'art occidental de la fin du XIIIe siècle au début du XIXe siècle. La constitution de cette collection, qui compte aussi des sculptures, a bénéficié de circonstances très favorables : conseils probables du peintre Wicar, lui-même collectionneur ; présence sur le marché, et notamment chez le brocanteur Corazetto de la place Navone, d'œuvres saisies dans les églises et couvents ; suppression, de 1798 à 1802, d'une loi d'immobilisation des œuvres d'art dans les Etats Pontificaux.(les numéros des pages renvoient au catalogue)
Dans le hall d’entrée
Charles-Auguste Lebourg (1829-1906) : Enfant à la sauterelle. Jeune garçon nu assis. Marbre
Joseph-Michel Caillé (1836-81) : Aristée pleurant la mort de ses abeilles. Marbre.
J.-Baptiste-Joseph, dit Joseph Debay (1779-1863) : Mercure prenant son épée pour trancher la tête d’Argus. Bronze. (Version en marbre au Louvre).
Joseph Debay (1779-1863) : Argus endormi au son de la Flûte par Mercure. Bronze.
(version en marbre au château de Compiègne)
(version en marbre au château de Compiègne)
Pierre-François Grégoire Giraud (1783-1836) : Pâris tenant la Pomme pour Vénus. (Copie d’après l’antique)
Premier étage
Salle1. Primitifs italiens.
Bernardo Daddi (1290-1348) : Madone entourée de quatre saints. A gauche, St Evêque et Michel. A droite, Pierre et J.-Baptiste. Pierre présente à Jésus un chardonneret qui évoque le futur sacrifice du Christ. Très joli.
Mariotto di Nardo (début 15e) : La Cène. Composition verticale.
Cenni di Francesco (début 15e) : St Jean portant l’Agneau.
Sano di Pietro (15e) : St François d’Assise recevant les stigmates.
Bicci di Lorenzo (1373-1452) : St Antoine et un saint Evêque.
Cosmé Tura (1430-95) : St Nicolas de Bari. Impressionnant par sa monumentalité et le réalisme du visage. Il tient des boules d’or dans sa main droite. Devenu riche à la mort de ses parents, Nicolas apprend qu'un gentilhomme, réduit à la misère, va prostituer ses trois filles. Nicolas jette par la fenêtre un sac d'or qui permettra de marier l'aînée, puis il répète ce geste pour les deux autres filles. Très beau tableau.
Pietro Vanucci, dit Il Perugino (1445-1523) :St Sébastien et St Franciscain. Sébastien est représenté en jeune adolescent, très élégamment vêtu en rouge et noir. Fond or. Très beau.
Ambrogio da Fossano, dit Borgognone (1455-1522) : Scène de la vie de St Benoît – Tentation de St Benoît.
Maître du « tondo Miller » (fin 15e) : Vierge à l’enfant.
Jacopo del Sellaio (1442-93) : Vierge à l’enfant.
Andrea Solario (1470-1520) : Christ portant sa croix. Gros plan sur le visage de Jésus.
Salle 3
Guido Reni (1575-1642) : St Jean-Baptiste avec l’agneau. Attitude élégante de Jean-Baptiste, qui tient une croix et caresse un agneau, deux symboles christiques, attributs habituels du saint : c'est lui qui reconnut Jésus comme le Messie, le baptisa, et l'appela "l'Agneau de Dieu".
J.-Baptiste de Champaigne (1631-81) : Le Souper d’Emmaüs.Giovanni Francesco Romanelli (1610-62) : Ste Famille.
Ottavio Vannini (1585-1642) : Le Baptême de Jésus.
Giovanni Battista Beinaschi (1636-88) : Josué arrêtant le soleil.
Valerio Castello (1624-59) : La Vierge, l’enfant et J.-Baptiste.
Luca Giordano (1634-1705) : Vision de St Dominique s'élevant au-dessus des passions humaines. Un grand mouvement ascendant et tourbillonnant caractérise la composition.
Filippo Vitale (1585-1650) : St Pierre délivré de prison par un Ange
Peter-Paul Rubens (1577-1640) : Judas Macchabée priant pour les morts.
Gaspar de Crayer (1582-1669) : L’Éducation de la Vierge.
Simon Vouet (1590-1649) : La Paix
Simon Vouet : L’Apothéose de St Eustache et de sa famille. Grande Toile. Au premier plan, dans les deux angles inférieurs, deux beaux nus masculins vus en contre-plongée. Beau mouvement ascendant.
Michel Corneille le père (1602-64) : La Distribution des Rameaux. Dominée par un ample décor architectural, la composition s'organise de manière symétrique autour du pilier central. A gauche, le groupe sinueux des femmes et des enfants ; à droite, la troupe verticale et rigide des ecclésiastiques.
Philippe de Champaigne (1602-74) : Le Repas chez Simon. Jésus à gauche ; Simon, à droite. Superbe. Ce grand tableau fut commandé par la reine Anne d'Autriche pour l'abbaye parisienne du Val de Grâce. Son sujet indique su'il devait probablement orner les murs du réfectoire. Les personnages sont représentés allongés "à la romaine" dans un triclinium.
Laurent de La Hyre (1606-56) : Le Repos de la Sainte Famille.
Jacques Stella (1596-1657) : L’Assomption – Les Pèlerins d’Emmaüs.
Salle 4
Claude Vignon (1593-1670) : St Pierre repentant.
Georges de La Tour (1593-1652) : Trois œuvres célèbres (scènes nocturnes).
Georges de La Tour : Le Vielleur.
Georges de La Tour : L'Ange apparaissant à saint Joseph ou Le Songe de saint Joseph
Mathias Stom (1600-50) : St Jérôme pénitent. Dans le cadre de la Contre-Réforme, ce tableau insiste sur les vertus de pénitence et de méditation de Jérôme ; il est représenté solitaire dans sa cellule, trouvant son salut dans la contemplation de Dieu. La présence du crâne incite à voir le tableau comme une "vanité". Le manteau rouge rappelle son statut de cardinal ; il s'agit d'un attribut iconographique traditionnel car Jérôme n'a jamais été cardinal.
Mathias Stom : Adoration des Bergers. Deux très beaux tableaux caravagesques.
Salle 5
-La Déification d’Enée.
Sébastien Bourdon () : Ste Geneviève priant pour Paris – Le Baptême de Jésus.
Joseph Parrocel (1646-1704) : St Augustin guérissant les Malades.
Giovanni Benedetto Castiglione (1616-70) : L’Entrée de l’Arche.
Salle 6
François de Troy (1645-1730) : Portrait de Mme de Monginot et de son époux. Sans doute veuve, son mari est représenté dans un médaillon.
J.-François de Troy (1679-1752) : Allégorie de la Prudence.
Nicolas Lancret (1690-1743) (attr.) : Arrivée d’une dame dans une voiture tirée par des chiens.
Avant le bal costumé - La Camargo dansant.
J.-Baptiste Greuze (1725-1805) : Un oiseleur qui au retour de la chasse accorde sa guitare (« le Guitariste »). Célèbre, influence de la peinture flamande.-Portrait de Charles-Paul-Jean-Baptiste de Bourgevin de Vialart de St Morys, conseiller à la Grand-Chambre du Parlement de Paris. Vêtu de son habit de parlementaire.
J.-Baptiste Greuze : Portrait de J.-Baptiste de Bourgevin de Vialart, comte de St Morys, enfant. Très beau portrait de jeune garçon en habit de satin blanc.
Robert Levrac-Tournières (1668-1752) : La Famille Maupertuis – Famille dans un salon.
Christophe Huet () : Chien à l’arrêt sur des Perdrix (1753).
J.-Baptiste Santerre (1658-1717) : Cuisinière.
J.-Baptiste Oudry (1686-1755) : Chasse au Loup en forêt.
Salle 7
Antonio Canova (1757-1822) : Portrait d’un Chevalier croisé. Peinture.
J.-Baptiste Greuze (1725-1805) : Portrait de M. Hussard, fondateur de l’école de dessin de Nantes.
Nicolas-Guy Brenet (1728-92) : Le jeune fils de Scipion rendu à son père par Antiochus. Néoclassique. Très inspiré par le succès du "Serment des Horaces", exposé deux ans auparavant, il rend hommage à David.
François-Xavier Fabre (1766-1837) : Henri-Jacques-Guillaume Clarke, duc de Feltre, maréchal de France.
Joseph-Marie Vien (1716-1809) : La Marquise de Migieu – Suzanne et les vieillards.
Joseph Benoît Suvée (1743-1807) : Tancrède secouru par Hermine.
Giovanni Paolo Pannini (1691-1765) : Prédication d’une Sybille. Dans cette composition, Pannini utilise des ruines romaines célèbres pour les associer selon sa fantaisie.
Pierre-Jacques Volaire, dit Le chevalier Volaire (1729-1802) : Eruption du Vésuve.
Salle 8
J.-Baptiste-Camille Corot () : Démocrite et les Abdéritains.
Hippolyte Flandrin (1809-64) : Rêverie.
J.-Charles-Joseph Remond (1795-1875) : Ulysse et Nausicaa. Paysage « historique ». Influence de Poussin.
Vue du village et du pont de Crevola.
Auguste-Hyacinthe de Bay (1804-65) : Mme Félix Crucy, femme de l’architecte.
Félix Tomas (1815-75) : Bords du Tibre.
J.-Dominique Auguste Ingres (1780-67) : Portrait de Mme de Sennones. Robe grenat. Superbe. Le visage de Mme de Senonnes dessine un ovale très pur qui constitue la source d'arrondis successifs jusqu'au bras droit démesurément allongé. Somptueuses étoffes et nombreux bijoux.
Claude-Marie Dubuffe (1790-1864) : Portrait de Claude Marie Morin.
Salle 9
Jules Elie Delaunay (Nantes, 1828-91) : La Leçon de Flûte. Un beau jeune homme assis donne une leçon de flûte à un jeune garçon nu impubère, debout près de lui.
-La Communion des Apôtres.
Charles-Guillaume-Henri, baron de Steuben (1788-1856) : La Esméralda.
Jules Ziegler (1804-56) : Le Prophète Daniel
Gustave Doré (1832-83) : Le Christ quittant le prétoire. Immense et superbe. Autre version au musée d'Art moderne et contemporain de Strasbourg.
Jules-Eugène Lenepveu (1819-98) : Vierge au Calvaire.Auguste-Hyacinthe de Bay (1804-65) : Lucrèce sur la place publique de collatie. Composition grandiose.
J.-Victor Schnetz (1787-1870) : Funérailles d’une jeune martyre dans les catacombes à Rome au temps des persécutions
Xavier Sigalon (1788-1837) : Athalie. Grande composition, violents mouvements de foule, scène de massacre. Superbes nus masculins au centre et à droite. Le sujet renvoie au texte de la Bible qui rapporte comment Athalie, reine de Juda, fit massacrer tous les princes de Juda, pour régner seule après la mort de son fils.
Salle 10. Orientalistes
Jules-Jean-Antoine Lecomte du Nouÿ (1845-1923) : L’Esclave blanche. (Salon de 1888)
Salle 11
J.-Raymond Brascassat (p. 104) – Charles François Daubigny.
Jean Désiré Gustave Courbet (1819-77) : Les Cribleuses de Blé. Célèbre.
Jacques Joseph, dit James Tissot (1836-1902) : Suite du « Fils prodigue ».
Le Départ – En pays étranger – Le Retour – Le Veau Gras. Ce thème biblique est traité à l’époque contemporaine.
Salle 12
Jules-Louis Dupré –
Eugène Isabey (1803-86) : Naufrage du trois-mâts « L’Emily » en 1823. (Salon de 1865)
Léon Commère (1850-1916) : Le Déluge. Amoncellement de cadavres ruisselants sous le déluge. Impressionnant.
Georges Moreau de Tours (1848-1901) : Une stigmatisée au Moyen-Age.
Luc-Olivier Merson (1846-1920) : Polyeucte et Pauline – Le Cid et Chimène.
Evariste Luminais (1822-96) : Foire aux Chevaux
Petites galeries autour de la cour centrale.
Luc-Olivier Merson (1846-1920) : St François d’Assise prêche aux poissons.
Horace Vernet (1789-1863) : La Ballade de Lénore. Nocturne fantastique. Une jeune fille en croupe derrière un chevalier en armure dont le visage est un crâne lumineux. histoire de Lénore qui attend le retour de son fiancé Wilhelm, parti à la guerre de Sept Ans. Un soir, à minuit, un chevalier l'entraîne dans une course follesur son destrier. Affolée, Lénore l'interroge sans cesse, et il lui répond : "Les morts vont vite !". Il lui promet de la conduire pour leurs nocesdans demeure étroite et silencieuse. Lénore soulève la visière du casque et découvre la tête du mort dont les orbites creuses émettent une lumière phosphorescente. La mort triomphe de l'amour.
Horace Vernet (1789-1863) : Agar chassée par Abraham. Inquiète pour l'héritage de son fils Isaac, Sarah, l'épouse d'Abraham, demande à son mari d'abandonner Agar et Ismaël. Il accepte, Dieu lui promettant de les protéger. Il leur remet du pain et une outre pleine d'eau, mais la traversée du désert est longue... Agar est la servante égyptienne avec qui Abraham a eu un premier fils, Ismaël, qui aura une nombreuse descendance : les Arabes du désert.
Jules-Elie Delaunay () : La Mort du centaure Nessus.
Paul Delaroche ((1797-1856) : Jeune fille à la balançoire – L’Enfance de Pic de la Mirandole.
L’Art gothique ou le Moyen Age – Esquisse d’ensemble (modello) de la fresque de l’hémicycle de l’Ecole des Beaux-Arts de Paris. Et plusieurs études de têtes des personnages.
Ary Scheffer (1795-1868) : L’Enfant charitable.
Charles-Guillaume-Henri, baron de Steuben (1788-1856) : La Liseuse.
Hippolyte Flandrin (1809-64) : Jeune Fille.
Giovanni Paolo Pannini () : La Piazza Navona. Roma.
Jacques Blanchard (1600-38) : La Mort de Lucrèce.
Simon Vouet (1590-1649) : Portrait de l’abbé Suger.
Pietro della Vecchia (1603-78) : Le Devin Thirésias se métamorphosant en femme.
Claude Vignon () : Le Lavement des pieds.
Abraham Bloemaert (1561-1651) : Madeleine repentante.
Jan I Brueghel () : Le Retour de la chasse – Le débarquement. Scène fluviale.
Adam Frans van der Meulen (1632-90) : L’Investissement du Luxembourg (1684).
Richard Brakenburgh (1650-1702) : Réunion dans un cabaret.
Nicolas de Largillierre () : Autoportrait.
Jacques van Oost le vieux (1601-71) : Jeune homme écrivant.
Jacob Ferdinand Voet (1639-1700) : Portrait d’Eléonore Boncompagni Borghese – Portrait de Jean de Souhigaray.
Jacopo Robusti, dit Il Tintoretto (1518-94) : Portrait d’homme dit de Soranzo. Beau visage sur un fond sombre.
Michel I Corneille (le père - 1603-64) : La Vocation de Claire d'Assise. Le "pendant" est dans la cathédrale de St-Flour ("La Bienheureuse Agnès d'Assise rejoint au couvent sa sœur Claire")
Anonyme, Florence (vers 1570) : Portrait de jeune homme. Bel adolescent aux traits fins, très élégant. Superbe.
Sir Edward Burne-Jones (1833-98) : Portrait de Lady Frances Balfour.
-Emile Bernard (1868-1941) : Le Gaulage des Pommes.
Œuvres modernes et contemporaines. Une belle collection.
Claude Monet : Les Nymphéas à Giverny.
Sonia Delaunay – Jean Metzinger – Max Ernst – Jean Gorin – Alfred Manessier – Jean Hélion – Gaston Chaissac - Vassily Kandinsky – Pablo Picasso – Raoul Dufy – Paul Signac (p. 155) – Maurice Denis (p. 156) – Jean Dubuffet – Raymond Hains – Jacques Mahé de la Villéglé – Martial Raysse – Pierre Soulages – Claude Viallat – Jean Hélion - Jean-Pierre Raynaud - Alberto Magnelli - etc.
Giulio Paolini : Mimesi.
Lors de ma visite, une expo temporaire des collections des FRAC limitait sans doute la présentation de la belle collection d’œuvres contemporaines du musée.
Un important cabinet de dessins :
Acquisitions 2008 :
Claude-Marie Dubufe (1790-1864) : 2 pendants. Adam et Eve (1827 - 307 x 250 cm)
- Le Paradis perdu (1827 - 307 x 250 cm)
Virginia da Vezzo (1597-1638) : Judith et Holopherne (vers 1624-26). Le modèles est l'épouse de Simon Vouet.
Musée départemental Thomas-Dobrée
Un reliquaire exceptionnel
Reliquaire du cœur d'Anne de
Bretagne - A sa mort en Janvier 1514 à Blois, le cœur d'Anne de Bretagne est placé
dans un boitier de 500
grammes d'or massif. La reine, en donnant son cœur à son
royaume d'origine, perpétuait une tradition datant du haut Moyen Age, comme
pour marquer d'un geste le territoire qui est le sien.
Texte figurant
sur la première face :
« En ce petit
vaisseau
De fin or pur et munde
Repose ung plus grand cueur
Que oncque dame eut au munde
Anne fut le nom delle
En France deux fois royne
Duchesse des Bretons
Royale et Souveraine.
C
M V XIII »
Volé en 2018 - Le reliquaire a été volé dans la nuit du 13 au 14 avril - et retrouvé le 21 avril par la police.
De fin or pur et munde
Repose ung plus grand cueur
Que oncque dame eut au munde
Anne fut le nom delle
En France deux fois royne
Duchesse des Bretons
Royale et Souveraine.
C
M V XIII »
Volé en 2018 - Le reliquaire a été volé dans la nuit du 13 au 14 avril - et retrouvé le 21 avril par la police.
Les collections du musée d'Arts de Nantes
6 commentaires:
Bonjour,
un petit mot d'encouragement pour votre joeb.
Je me suis permis de faire un lien vers cette page consacrée au musée de Nantes depuis mon propre joèb. Ce pour illustrer un billet sur Agar et Ismael.
JP
Merci pour vos encouragements et le lien.
bravo pour votre site!
juste une remarque :
Mathias Stom est référencé sous
Matthias Stomer (voire Mathias Stomer) sur le site JOCONDE : http://www.culture.gouv.fr/public/mistral/joconde_fr
C'est exact, mais Stomer est une graphie ancienne du nom de ce peintre ; actuellement, "Stom" est la graphie couramment admise.
Comme Nicolas de Largillierre, ou Anne-Louis Girodet de Roussy-Trioson (et non pas Roucy).
Autrefois la graphie des patronymes n'était pas fixée aussi rigoureusement que de nos jours (il n'y avait pas de carte d'identité), et quand les artistes travaillaient dans un pays différent de leur pays d'origine, leurs noms subissaient des modifications...
Le musée des Beaux-arts de Nantes a rouvert en juin 2017 après 7 années de travaux.Il s'appelle désormais les musée des Arts mais une trop grande place y est consacrée à l'art moderne, avec d'horribles vidéos et des barbouillages ignobles, exposés dans des salles immenses désertées par les visiteurs qui n'aiment pas ça.
J'ai bien l'intention de retourner au musée de Nantes pour voir la nouvelle présentation, mais de nombreux musées doivent rouvrir après travaux... et il y a ceux que je ne connais pas encore...
Cordialement
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