Musée des Avelines
Vue de la
façade
Le hall
d’entrée avec des colonnes monumentales
Visite du musée des Avelines, le
dimanche 13 octobre 2019
Ce musée
est installé dans l'ancienne propriété construite en 1936 par un riche
industriel pharmaceutique, Daniel Brunet, amateur d'architecture antique. En
1979, le Conseil municipal achète le domaine pour en faire un pôle culturel. Le
musée des Avelines ouvre ses portes au public en 1988.
Après des
travaux de rénovation, le nouvel espace muséal est entièrement repensé et
modernisé. Sur 2 niveaux, selon un code couleur, les grandes salles déploient
les collections permanentes sur plus de 400m².
propriété de M. Daniel Brunet, industriel pharmaceutique, rassemble en un même lieu d'une part le patrimoine d'histoire locale, constitué dans l'entre-deux-guerres, et d'autre part la donation de beaux-arts d'un particulier, M. Oulmont.
propriété de M. Daniel Brunet, industriel pharmaceutique, rassemble en un même lieu d'une part le patrimoine d'histoire locale, constitué dans l'entre-deux-guerres, et d'autre part la donation de beaux-arts d'un particulier, M. Oulmont.
Collections permanentes
Eugène Carrière (1849-1927) : un ensemble de
14 toiles plus des dessins
-Portrait de Henri Rochefort
-Portrait de Nelly Carrière
Eugène Carrière : Maternité
-Portrait de Marguerite Carrière
Eugène carrière : Portrait de la famille Chausson (à gauche)
-Femme coupant un tissu
-René Carrière dessinant
Eugène Carrière : Le Baiser du soir (1901)
Jean-René Carrière : Buste d’Eugène carrière. Plâtre
Jean-Antoine Houdon (1741-1828) : Buste de Voltaire. Marbre
Boleslas Biegas : Buste d’Emile Verharen. Plâtre
Claude Charles Saunier : Bureau plat à gradin
d’époque Louis XVI
Guillaume Dubufe (1853-1909): Esquisse pour le
buffet de la gare de Lyon (Musée des Avelines)
Pierre Duval Le Camus : Portrait d’homme
Pierre Duval Le Camus : Portrait de Claude-Marie Dubufe sur fond de paysage (1825 – musée
des Avelines) (à droite)
-Macbeth et les Sorcières
Gaston La Touche (1854-1913) : La Pêcher miraculeuse (1877)
-Le Souper des faunes
-Macbeth et les Sorcières
Gaston La Touche (1854-1913) : La Pêcher miraculeuse (1877)
-Le Souper des faunes
Claude-Marie Dubufe (1790-1864) : Portrait d’Alexandre Dumas (musée des
Avelines)
Jean-Baptiste Carpeaux (1827-75) : Buste de Charles Gounot (1873 - musée
des Avelines). Plâtre
Caroline Benedicks-Bruce (1856-1935) : Buste d’Édouard Dantan (1897 - Musée des Avelines)
Caroline Benedicks-Bruce (1856-1935) : Buste d’Édouard Dantan (1897 - Musée des Avelines)
Edouard-Joseph Dantan (1848-97) : Un coin
d'atelier (1881 - musée des Avelines). Son père Antoine-Laurent Dantan
sculptant le relief, « L'Ivresse de Silène ». 98x130 cm
Edouard-Joseph Dantan : Mon père (Musée des Avelines)
-La Vocation des Apôtres Pierre et André
Edouard-Joseph Dantan : La Station de Saint-Cloud (1880 - Musée des Avelines)
Benjamin-Eugène Fichel : La Foire de Saint-Cloud (1874 - musée des Avelines)
Edouard-Joseph Dantan : Mon père (Musée des Avelines)
-La Vocation des Apôtres Pierre et André
Edouard-Joseph Dantan : La Station de Saint-Cloud (1880 - Musée des Avelines)
Camille Roqueplan (1803-55) : Les Cascades de Saint-Cloud
Les grandes cascades de nos jours (Parc du Château de Saint-Cloud)
d’après J-Baptiste Carpeaux : Flore accroupie (Musée des Avelines). Biscuit (à gauche)
d’après J-Baptiste Carpeaux : Le prince impérial et son chien Néro.
Biscuit
d’après Léopold Bracony : Buste de la princesse de Lamballe.
Biscuit
Une partie des collections permanentes n'était pas visible en raison de l'exposition temporaire.
Exposition temporaire :
« Les derniers feux du palais de Saint-Cloud »
(10 octobre
2019 – 23 février 2020)
L'exposition a pour ambition de faire revivre l’histoire d’un palais disparu. Celui du
fastueux château de Saint-Cloud. Bombardé et incendié pendant la guerre de
1870, il ne subsiste rien, que le parc de 460 hectares.
Fort heureusement, l’impératrice
Eugénie avait senti le vent tourner et, avec la complicité du régisseur du palais, avait fait évacuer au cours
du mois d’août 1870, bon nombre de meubles vers Paris. En collaboration
avec le Mobilier national, le musée
des Avelines propose, le temps d’une exposition, de faire revivre le faste de
cette demeure, et invite à une promenade dans les appartements impériaux du château de
Saint-Cloud à la fin du règne de Napoléon III. La réunion de plus de cent
œuvres et objets provenant de ce lieu oublié est un véritable exploit. Tous
témoignent de l’élégance et de l’éclectisme de l’ameublement du palais, et
particulièrement du goût de l’impératrice pour le style Louis XVI,
associant objets authentiques et belles copies ou interprétations du XIXe siècle, dans un souci
d’harmonie parfois audacieux.
La scénographie confronte de grandes reproductions des photographies des intérieurs, réalisées par Pierre-Ambroise Richebourg en 1868, aux nombreux objets sauvés. Amateurs d’histoire et de beaux meubles contempleront meubles, vases, tapisseries, tableaux, choisis un par un par le couple impérial, très attaché à cette demeure de villégiature aux portes de Paris.
Pierre-Ambroise Richebourg, photographe de la Couronne, a capté le raffinement du palais en 1868, deux ans avant sa disparition dans l'incendie d'octobre 1870.
La scénographie confronte de grandes reproductions des photographies des intérieurs, réalisées par Pierre-Ambroise Richebourg en 1868, aux nombreux objets sauvés. Amateurs d’histoire et de beaux meubles contempleront meubles, vases, tapisseries, tableaux, choisis un par un par le couple impérial, très attaché à cette demeure de villégiature aux portes de Paris.
Pierre-Ambroise Richebourg, photographe de la Couronne, a capté le raffinement du palais en 1868, deux ans avant sa disparition dans l'incendie d'octobre 1870.
Maquette du
parc
Dessin (1675) et reconstitution
virtuelle du château
Plan du
Château disparu
Panneau
d’entrée
Grand vase
ornemental avec une monture en bronze (Salon blanc)
Adolphe-Etienne Viollet-le-Duc : Les Grandes Eaux à Versailles
Edouard Dubufe (1819-83) : Portrait de L’Empereur Napoléon III (1853 - Musée
des Avelines, dépôt du musée d’Orsay). H/toile
A gauche : Coupe de
Rivoli. Porcelaine de Sèvres (1859 – Mobilier national)
Grand salon ou salon blanc
Michel-Victor Cruchet : Canapé. Salon blanc
(Mobilier national)
Michel-Victor Cruchet : Écran de cheminée. Salon
blanc (Mobilier national)
Henri-Léonard Wassmus : Table de famille. Salon
blanc (Mobilier national)
Paire de
candélabres (Mobilier national)
Paire de vases « étrusque de Naples », 1853, porcelaine de Sèvres, décor
d’oiseaux et rubans en relief blanc sous émail, 48 x 26 cm
(Mobilier national)
Salon blanc - Photo Richebourg
Salon de Mercure (salle de billard)
Manufacture des Gobelins,
d’après P.-P. Rubens : La Reine s’enfuit du château de Blois (Mobilier national)
Jean-Pierre-François Jeanselme : Chaise (Mobilier national)
Salon de Mercure - Photo Richebourg - Le billard a disparu dans l'incendie
Salon
de la Vérité
Tapisseries
des Gobelins, d’après P.P. Rubens (Cycle de Marie de Médicis)
Pietro Tenerani (1789-1869) : Buste du duc de Reichstadt (Château de
Fontainebleau)
Salon de la Vérité - Photo Richebourg
Salon
de Vénus
Manufacture
des Gobelins, d’après François Gérard : Le duc d’Anjou déclaré roi d’Espagne
(Mobilier national). Tapisserie
François-Honoré-Georges
Jacob-Desmalter :
Console (1808 – Steinitz)
Salon de Vénus - Photo Richebourg
Salon
de Mars
Manufacture
des Gobelins, d’après Antoine-Jean Gros : Bonaparte Premier Consul distribuant des
sabres d’honneur aux Grenadiers (Mobilier national). Tapisserie
Salon de Mars - Photo Richebourg
Galerie
d’Apollon
Louis Edouard Lemarchand : bas d’armoire vitré (1843 –
Versailles). Une série décorait la galerie d'Apollon
Galerie d'Apollon - Photo Richebourg
Cabinet de travail de l’appartement
sur l’Orangerie
Chambre à coucher de l’Empereur
Gustave-Joseph-François
Fossey : Bureau ministre de Napoléon
III (Mobilier national)
François Gérard d'après : Portrait d'Hortense de Beauharnais
Chambre de l'Empereur - Photo de Richebourg
Guéridon
Cabinet de travail de l'Empereur
Franz-Xaver Winterhalter d'après : Portrait de l'Impératrice Eugénie
Cabinet de travail de l'Empereur - Photo de Richebourg - Le grand dressoir de Ribaillier et Mazaroz a disparu dans l'incendie
Salon des Chambellans de
l’Impératrice ou salon rouge
Eugène Fromentin (1820-76) : Berger,
hauts plateaux de la Kabylie. Salon rouge (1861 - Compiègne)
Alfred Dedreux Atel. (1810-60) : Jument de l’Empereur sellée en grand apparat
(1853 - Compiègne)
Pierre Charles Comte (1823-95) : Henri III et le duc de Guise. Salon
rouge (1855 - Orsay)
Fournier : Salon rouge. Dessin
Grand salon de
l’Impératrice
Horace Verrnet (1789-1863) : Le Zouave Trappiste (1856 – musée
des Avelines)
Furet () : Pendule à « L’Etude ».(Mobilier national)
Louis-Auguste Marquis : Candélabres à 8 lumières
Henri-Léonard Wassmus : Table de salon (1855 –
Mobilier national)
Jean-Baptiste Fortuné de Fournier : Grand salon de l’Impératrice.
Dessin (1863 – Compiègne). Sur le mur, une toile de Murillo, "La Vierge de Séville"
Salle à manger puis cabinet
de travail de l’Impératrice
Manufacture des Gobelins
d’après Elisabeth Louise Vigée-Le Brun :
Marie-Antoinette et ses enfants (Mobilier
national). Tapisserie
Manufacture
de Sèvres d’après Etienne-Maurice Falconet : La Baigneuse
à l’éponge, la Baigneuse aux roseaux.
Biscuits
L'incendie du château
Albert Adam (1833- ?) - Léon Jean-Baptiste
Sabatier : Château de Saint-Cloud incendié par les Prussiens, 1872
(Lithographie)
La façade du château
après l’incendie
L'escalier d’honneur – photos Richebourg - avant et après l'incendie
Escalier de
Marie-Antoinette - avant et après l'incendie
Serrures en
bronze retrouvées dans les décombres du château
Pièces d'un
service de porcelaine retrouvées dans les décombres du château .
Emplacement
actuel du château
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